Simple et efficace

La Loi française interdit le port de tout couteau, car elle considère qu’un couteau est par définition une arme blanche de 6° catégorie (ou catégorie D). Et cela sans distinction de la longueur de la lame ou de la présence ou non d’un mécanisme de blocage de la lame.

Armes de Catégorie D (acquisition & détention libres) Service-public.fr

Nous n'avons pas le droit de porter sur soi, dans sa poche ou dans un sac à main, un couteau quel qu'il soit. Interdit donc les Opinels, les Pradels, les Victorinox (couteau suisse). Interdit aussi ce couteau que j'apprécie depuis de nombreuses années et qui ne quitte pas ma poche gauche de pantalon. Je suis en infraction.
Il est entendu que n'importe quel couteau peut être considéré comme une arme. Il est entendu qu'un couteau peut servir à blesser ou à tuer. Sur ces points, il est bien difficile de contredire le législateur. Cependant, j'ai pris l'habitude il y a déjà bien longtemps de me promener avec un couteau en poche. Ai-je déjà tué ? Non. Je me suis déjà blessé, par contre. Il est exact que si je n'avais pas eu cet Opinel sur moi cette fois là, en 1987 (je m'en souviens), je ne me serais sans doute pas blessé le pouce de la main gauche en tentant de couper de petites branches sur une branche que je prévoyais d'utiliser pour chasser la girole.
Depuis plus de vingt ans, le couteau qui m'accompagne est un Douk-Douk. J'aime son aspect très rustique, brut. Du métal et rien d'autre. Du bon acier pour la lame et de la tôle pliée pour le manche. J'aime aussi sa décoration "étrange".
J'ai eu ma période Laguiole puis ma période Opinel avant d'adopter le Douk-Douk. Le "Nontron", peut-être parce qu'il me semble trop noble ou luxueux, a rarement voyagé au fond d'une poche de pantalon.

Je me suis amusé, toujours dans ma démarche d'apprendre à utiliser le logiciel Blender, de modéliser un Douk-Douk. C'est assez réaliste.

Beau couteau de poche
Depuis 1929

Quitter X (ex Twitter)

C'est un sujet qui passionne une partie de l'Internet. Faut-il quitter X, la plate-forme rachetée par Elon Musk qui fait polémique. Si je ne quitte pas ce réseau social, c'est avant tout parce que je n'y ai pas de compte. Pour tout dire, je ne me suis jamais intéressé à Twitter/X. Il y a bien longtemps, j'ai essayé de comprendre à quoi je pourrais bien utiliser facebook et puis j'ai abandonné. Je ne suis présent sur aucun réseau social hormis Youtube si tant est que c'est bien un réseau social.
A l'occasion de l'investiture de Trump, les invitations à quitter X se font plus pressantes. On reproche (à raison) à Elon Musk d'avoir transformé son réseau social en organe de propagande pour les idées d'extrême-droite ouvert au propos les plus décomplexés. Et le fait que ce même Musk ait un poste auprès de Trump n'encourage pas à penser que l'inclination politique soit amenée à changer de sitôt.
J'entends, je lis, des personnes qui expliquent qu'elles vont quitter X et se rabattre sur des solutions plus ou moins équivalentes telles que, pour le libre, Mastodon. Il se trouve que j'ai un compte Mastodon… et que je n'en fais rien. Là aussi, je n'ai pas compris quelle utilité je pouvais avoir de ce réseau social. Mais je peux comprendre que certaines personnes qui ont au fil des ans construit un réseau aient envie de continuer à s'exprimer. L'idée est qu'il faut qu'il y ait un mouvement d'abandon de X puissant pour que les "communautés" se reconstituent ailleurs.
Il paraît que ces réseaux sociaux de "micro-blogage" sont fabuleux pour se tenir au courant de l'actualité et de la marche du monde. C'est possible mais j'ai tout de même le sentiment que l'on peut faire autrement pour ne pas ignorer grand chose de ce qui est intéressant de savoir.
Et vous, quels sont les rapports que vous entretenez avec ces réseaux sociaux ? Vous trouvez réellement cela utile ?

Motocyclette & confort

Or, il arriva que le motocycliste lambda réclamât un peu plus de confort. Eugène-Karl Foulouizissaxe ne fit pas la sourde oreille et prit d'assaut la table à dessin pour réaliser la motocyclette qui rendrait heureux les utilisateurs de son engin quelque peu hors du commun.
Ce que l'on peut reprocher à la motocyclette, c'est bien que l'on doive l'enfourcher et la chevaucher comme on le ferait d'un bête équidé, en plus de se mouiller lorsqu'il vient à pleuvoir ou, encore, que l'on se casse assez souvent la gueule avec.
Tout en conservant, pour des raisons bassement administratives, le principe du deux-roues motorisé, il se permet de concevoir le sien avec une roue avant motrice tant il est persuadé qu'il est toujours préférable d'être tiré en avant que d'être poussé par derrière. Pour le confort, il installe un moelleux fauteuil et se débarrasse de cette ignominieux guidon qu'il remplace avantageusement par deux leviers bien placés à portée de mains, l'un à gauche, l'autre à droite. Le concept est novateur, il ne peut que conquérir les cœurs !
On voit sur l'illustration fournie par la famille de notre glorieux inventeur les premiers essais sur route ouverte. Il est des réglages qui restent à peaufiner mais la machine d'Eugène-Karl fonctionne à merveille. Il est saisi au moment où, chevauchant sa motocyclette sur les chemins du samedi soir, il va épater les jeunes gens venus assister au concert des Dérapeurs de roupettes, un groupe très local à qui ont on promet un brillant avenir.

Motocyclette avec confort
L'avenir de la motocyclette intelligente

Un peu Brrrr, tout de même

Hier matin, j'ai senti du changement. Il faisait moins froid que les jours précédents. Je ne regarde pas le thermomètre tous les jours mais il se trouve que mardi, il me semblait qu'il ne faisait vraiment pas trop chaud. De fait, l'instrument de mesure indiquait quatre degrés. C'est peu. Je me suis amusé à laisser le thermomètre dehors durant une dizaine de minutes, il était près de 5 heures, le temps de finir mon litre de café à présent froid. Il faisait entre -7 et -8 degrés.
Hier, donc, je sens du changement et je me rends compte qu'il fait moins froid. Pour m'en assurer, je retourne consulter le thermomètre qui affiche 7°. Ça reste bien en deçà de ce que l'on peut espérer comme température confortable mais il y a du mieux, c'est indéniable.

Une idée en suspens

Ce qui est tout de même un peu ennuyeux, c'est que pour une fois que j'ai une idée, je ne parvienne pas à faire le dessin qui irait l'illustrer. C'est peut-être bien que l'idée n'a pas encore assez mûri. Peut-être que lorsque j'aurai réussi à la formuler mieux, ce dessin me semblera évident.
Cette idée, elle n'est pas géniale mais tout de même, je ne la trouve pas si mal. A force de gommer les tentatives graphiques, j'en suis arrivé, un temps, à me dire que je pouvais tout aussi bien l'exposer en texte, sans qu'il soit besoin de l'illustrer, après tout.
Cela ne vous aura pas échappé, je suis tout à fait capable de produire et publier des dessins qui n'ont pas la plus petite trace d'idée pour origine. Je peux dessiner pour dessiner sans qu'il y ait de message et cela me convient parfaitement.
Depuis des décennies, j'ai pu constater que je rencontre trop souvent des problèmes à concilier idée et dessin. C'est un fait. D'autres y parviennent très bien et ça m'agace un peu. Evidemment, j'aurais pu faire comme certains qui se limitent à dessiner un personnage, presque toujours le même dans les mêmes situation et position et de placer une idée ou une pensée dans une bulle. Par exemple, j'y ai pensé, je pourrais utiliser un personnage comme la Peste et lui faire dire ce que à quoi j'ai pensé l'autre jour.
Cette idée encore verte, je ne lui trouve pas l'accord dessiné qui pourrait convenir. Je peux néanmoins vous la communiquer sans la développer. Je me suis fait la réflexion que la casse des services publics pouvait conduire à se priver de services. L'idée est de jouer sur les notions de "public" et de "privé" que l'on peut opposer. Cette idée est simple, elle repose sur ce que l'on peut constater. L'hôpital public qui fonctionnerait moins bien que le secteur privé, l'éducation qui serait plus efficace dans le privé et j'en passe. On nous dit que le public coûte trop. On ne nous dit pas combien coûte le privé pour le public.
Enfin bon, vous comprenez le truc.

Sculpture
Métal

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