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Ne pas (dé)contracter

Je ne me suis pas astreint à creuser cette affaire qui, malgré mes efforts pour ne pas suivre l'actualité, est arrivée jusqu'à moi au hasard de quelque écoute radiophonique ou de quelque lecture journalistique de haute volée. Je parle là de ce couple qui a défrayé la chronique avec leur "je ne contracte pas" lancé à des gendarmes qui entendaient effectuer un contrôle d'alcoolémie. C'est du moins ce que j'ai retenu de l'affaire.
Apparemment, ce mouvement en lien avec le complotisme serait né aux États-Unis d'Amérique dans les années 70 et serait appelé par là-bas Sovereign citizen movement. Ce serait arrivé en France à la faveur de la crise de la COVID-19, des confinements, des campagnes de vaccination. L'idée du mouvement serait que ces citoyens éclairés (pour ne pas dire allumés) savent bien qu'ils ont leur libre arbitre et qu'ils n'ont aucun compte à rendre à quelque autorité qui soit, politique, policière ou judiciaire. En fait, ils sont persuadés que l'État (pour faire simple) serait une sorte de société privée et que l'on peut refuser de signer une forme de contrat avec lui. Ainsi, en refusant ce contrat, ils ne sont obligés de rien en terme d'obligation légale.

Comme ça, de prime abord, on peut sourire de ces crétins et considérer qu'il n'y a rien de bien grave. Maintenant que cette histoire est arrivée dans les média avec ce couple refusant de se soumettre à un contrôle, je pense mieux comprendre les propos de certaines personnes que j'ai pu croiser lors de cette crise du COVID-19. Particulièrement, je me souviens d'une personne qui faisait (ou fait toujours ?) partie d'un groupe d'opposants à la vaccination et au confinement, qui tenait des propos assez incohérents et qui m'avait demandé de travailler gratuitement à la mise en pages de documents et à la réalisation d'un site ou d'un blog. J'avais refusé en indiquant que je ne partageais pas ses idées et il m'avait été répondu que je devais reprendre ma liberté face au pouvoir.
De même, lors des manifestations contre la réforme des retraites, à Périgueux, il m'est arrivé à plusieurs reprises de croiser une femme qui portait une pancarte couverte de propos assez obscurs. Je pense aujourd'hui être un peu plus en mesure de comprendre le fond de sa pensée (?). Elle faisait l'amalgame entre tout et n'importe quoi, les retraites et la vaccination, entre autres.
Je ne sais pas ce qu'il en est en France, quelle est l'ampleur de ce mouvement complotiste, mais il paraît qu'aux États-Unis d'Amérique, certains membres de ces Citoyens souverains refuseraient d'assurer leurs véhicules (entre autres choses). Imaginons un instant que je sois victime d'un accrochage avec l'un ou l'une de ces Citoyens souverains là et que ça occasionne quelques tracas administratifs. Et ça, c'est pour le cas le plus banal, le moins grave.
Cela me fait penser à un mouvement dont j'ai oublié le nom qui, dans les années 80 et 90, proposait aux travailleurs indépendants, artisans, commerçants, de refuser de payer leurs cotisations à l'URSSAF et proclamait qu'ils étaient forts et qu'ils allaient faire plier le système. Dans mon souvenir, ça ne s'est pas passé comme souhaité. Je vois là une certaine similitude avec l'affaire du couple refusant de contracter.

Je vois qu'il existe un site Citoyens souverains qui se présente comme "Collectif écosocialiste, féministe, antiraciste pour la sortie de l’UE, de l’euro et de l’OTAN, pour le RIC, et un moratoire sur la dette". Il ne me semble pas évident qu'il y ait un rapport avec le sujet du jour.


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Je n'y suis pour rien

ChatGPT Titre : “Sombres Échos”

L’inspecteur Adrian Laroche traînait sa silhouette sombre à travers les couloirs grisonnants du commissariat, ses épaules voûtées par le poids des mystères non résolus. Sa réputation de brillant enquêteur avait depuis longtemps cédé la place à une aura de mélancolie persistante.

Un matin pluvieux, le téléphone sonna, brisant le silence morose de son bureau. Un crime brutal venait d’être commis dans le quartier jadis paisible de Sainte-Claire. Un cadavre sans vie gisait dans une ruelle sombre, et un message énigmatique était laissé à côté du corps.

Laroche se leva, traînant ses pieds fatigués vers la scène du crime. Ses yeux ternes scrutaient les moindres détails, cherchant des réponses dans les coins les plus sombres de la scène. Les indices le menèrent sur la piste d’un tueur en série qui semblait se délecter du jeu macabre qu’il avait entamé.

Au fur et à mesure que l’enquête progressait, Laroche plongeait plus profondément dans les ténèbres de l’âme humaine. Les sombres échos du passé surgissaient, révélant des secrets enterrés et des liens inattendus entre les victimes. Chaque révélation creusait un peu plus le fossé de la dépression de Laroche, le rapprochant dangereusement du précipice de la folie.

Entre les flashbacks déchirants de ses propres démons intérieurs et les messages cryptiques laissés par le tueur, Laroche lutte contre le désespoir qui menace de l’engloutir. Alors que le compte à rebours s’accélère et que le tueur resserre son emprise, l’inspecteur dépressif doit trouver la force de dévoiler la vérité avant que l’obscurité ne le consume entièrement.

“Sombres Échos” est un thriller policier captivant qui explore les recoins les plus sombres de l’âme humaine, tout en mettant en lumière la fragilité d’un homme confronté à la cruauté du monde qui l’entoure.

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