Renault de sport

C'est une recette éprouvée. Vous prenez une automobile, vous lui ajoutez des phares et vous remplacez les jantes par d'autres plus "sportives" et vous êtes au commande d'un bolide.
La Dauphine Gordini n'était pas particulièrement puissante. Elle affichait trois petits chevaux supplémentaires par rapport à la version de base. Mais, tout de même, elle avait le sigle magique, celui qui faisait rêver. Gordini ! Le Sorcier. L'homme qui savait faire cracher des chevaux à des mécaniques quelconques. Là, la Régie n'a pas voulu aller au bout des préconisations d'Amédée pour des raisons de prix de vente qui devait rester contenu.

La Dauphine Gordini me fait repenser à ce trajet entre la région parisienne et la Dordogne durant lequel, au volant d'une Simca 1100 préparée, je me suis amusé avec un propriétaire de R1093, la plus puissante des Dauphine. Ça a été très amusant. Un coup elle était devant, un coup elle était derrière et comme ça sur une bonne centaine de kilomètres.
Nous nous étions retrouvé sur une aire de repos et avions discuté de nos fusées automobiles. Je garde un très bon souvenir de cela et avoue que la petite Renault jouait à égalité avec la Simca ou, tout du moins, n'était pas bien loin de ses performances.

Renault Dauphine
Dauphine Gordini

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