@Tournesol : Explication fournie par Le Figaro/Langue française : Pour connaître l'origine de «minute papillon», il faut remonter dans le Paris des années 1930. C'est durant cette époque que la rédaction du Canard Enchaîné aurait eu pour habitude de se rendre dans le café du Cadran situé dans le 2e arrondissement de la capitale. Parmi les serveurs se trouvait un dénommé «Papillon», connu pour sa prompte réponse aux appels des clients qui désiraient être servis sur le champ: «Minute!». Les journalistes lui auraient alors attribué le charmant surnom de «Minute papillon».
C'est anecdotique, d'autres pensent que c'est lié au fait que les papillons butinent rapidement de fleurs en fleurs, et que leur rapidité à l'ouvrage a donné cette expression, par comparaison avec celle ou celui qui va trop vite...
@S/C : En tapant minute papillon, on tombe sur diverses explications, dont celle du Figaro. (Je ne suis pas abonné.) Ainsi qu'il est précisé, c'est anecdotique.
Toutefois, cette version, avec diverses variantes, est souvent évoquée.
À l’aube de la guerre de 14, la devise de ce journal était pompée chez Beaumarchais : Loué par ceux-ci, blâmé par ceux-là, me moquant des sots, bravant les méchants, je me presse de rire de tout… de peur d’être obligé d’en pleurer.
En 1957, raccourcie, elle devient : Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur. P. Bouvard (Directeur un temps du journal) dans Les Grosses Têtes, aimait à rappeler cette devise. Peut-on y encore croire ?...
1 De Tournesol -
Minute !
J’ai bon?
2 De Sax/Cat -
Machaon
3 De Waldo7624 -
Silène, non ? Le Machaon (porte-queue) a 2 excroissances au bout des ailes, me semble-t-il...
4 De Sax/Cat -
@W : je pense que vous avez raison
5 De Waldo7624 -
@Tournesol : Explication fournie par Le Figaro/Langue française :
Pour connaître l'origine de «minute papillon», il faut remonter dans le Paris des années 1930. C'est durant cette époque que la rédaction du Canard Enchaîné aurait eu pour habitude de se rendre dans le café du Cadran situé dans le 2e arrondissement de la capitale. Parmi les serveurs se trouvait un dénommé «Papillon», connu pour sa prompte réponse aux appels des clients qui désiraient être servis sur le champ: «Minute!». Les journalistes lui auraient alors attribué le charmant surnom de «Minute papillon».
C'est anecdotique, d'autres pensent que c'est lié au fait que les papillons butinent rapidement de fleurs en fleurs, et que leur rapidité à l'ouvrage a donné cette expression, par comparaison avec celle ou celui qui va trop vite...
6 De Sax/Cat -
@W : si c'est dans le Figaro, c'est forcément vrai :-)
7 De Waldo7624 -
@S/C : En tapant minute papillon, on tombe sur diverses explications, dont celle du Figaro. (Je ne suis pas abonné.) Ainsi qu'il est précisé, c'est anecdotique.
Toutefois, cette version, avec diverses variantes, est souvent évoquée.
À l’aube de la guerre de 14, la devise de ce journal était pompée chez Beaumarchais : Loué par ceux-ci, blâmé par ceux-là, me moquant des sots, bravant les méchants, je me presse de rire de tout… de peur d’être obligé d’en pleurer.
En 1957, raccourcie, elle devient : Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur. P. Bouvard (Directeur un temps du journal) dans Les Grosses Têtes, aimait à rappeler cette devise. Peut-on y encore croire ?...
8 De Tournesol -
Waldo 7624: la formule est juste.Le journal,je ne peux rien en dire,je ne le lis pas.Episodiquement je lis la DL ou sud-ouest.