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Photographie de dans l'temps

Photo de famille
Peugeot 403 et personnages

Sur la gauche, c'est mon arrière grand-mère. Le troisième personnage en partant de la gauche, c'est mon père. La cinquième est ma grand-mère paternelle et la septième mon grand-père paternel. J'ignore ou ne reconnaît pas les autres personnes et ne sait pas à qui était la Peugeot 403.
Cette photographie provient d'une série de négatifs qui étaient chez mes grands-parents maternels. Si je tiens compte du fait que mes grands-parents paternels ne faisaient pas de photographies[1] au contraire de ceux du côté maternel, je peux considérer que ce serait ma grand-mère maternel qui manipule l'appareil. J'ai un gros doute quant à la personne la plus à droite du cliché. Ce pourrait être mon grand-père maternel mais je ne le reconnais pas vraiment. Je ne reconnais pas ma mère mais il est bien possible que je ne la connaissais pas à l'époque.

Note

[1] nonobstant, ma grand-mère s'est essayée à la pratique avec un Instamatic Kodak (ou Agfa) sur le tard et que ses photos étaient globalement assez mauvaises

Une SM à la campagne

Citroën SM
Une automobile que l'on ne croise pas si souvent



C'était en fin d'après-midi de ce mois de février et je passais par là pour rentrer chez moi. Lorsque j'ai vu cette automobile, je me suis arrêté et j'ai pris mon appareil photo. Je n'ai pas vu le ou la propriétaire.
Ce qui est étonnant, c'est de voir une SM qui, apparemment, est utilisée et ne bénéficie pas de soins particuliers. C'est une vieille voiture préservée mais sans plus. Quelques chocs sur la carrosserie, un capot moteur qui n'a pas la couleur du reste de la carrosserie et un intérieur tout à fait acceptable. Peut-être est-ce une acquisition récente et il est possible qu'une restauration complète soit au programme. Il est tout aussi possible que cette SM soit simplement utilisée peut-être pas au quotidien mais au moins assez couramment.

Quoi qu'il en soit, ça m'a fait plaisir de croiser cette Citroën.

Peugeot D4A

En 1946, Chenard et Walcker lance le CPV, utilitaire motorisé par un bicylindre deux temps. A la fin des années 1930, la marque Chenard et Walcker tombe dans le giron de Peugeot via sa filiale Chausson (et non Pantoufle comme il l'a été dit parfois). C'est donc naturellement qu'il poursuit sa carrière avec des moteurs Peugeot, ceux des 202, 203 et 403. Ils adopteront les noms de D3 et D4[1]. Censés concurrencer les Renault 1000 kg et Citroën HY, ils n'y parviendront pas d'une manière notable.
Surnommés "nez de cochon" en raison du petit capot ajouté afin d'accueillir les moteurs à quatre cylindres plus longs que le deux cylindres d'origine, ils sont assez rares aujourd'hui. Je n'ai jamais conduit ces utilitaires, je ne connais pas leurs qualités et leurs défauts mais j'ai toujours entendu parler d'une fiabilité relative. Ils ne m'ont pas laissé de souvenirs marquants. Le dernier dont je me souviens, c'est celui d'un marchand de frites qui écumait les fêtes locales avec son fourgon bleu et blanc jusque dans les débuts des années 90. Je lui ai toujours préféré les Renault et Citroën.

Peaugeot D4A
Fourgon Peugeot D4A

Note

[1] respectivement pour les moteurs de 203 et de 403

Un peu Brrrr, tout de même

Hier matin, j'ai senti du changement. Il faisait moins froid que les jours précédents. Je ne regarde pas le thermomètre tous les jours mais il se trouve que mardi, il me semblait qu'il ne faisait vraiment pas trop chaud. De fait, l'instrument de mesure indiquait quatre degrés. C'est peu. Je me suis amusé à laisser le thermomètre dehors durant une dizaine de minutes, il était près de 5 heures, le temps de finir mon litre de café à présent froid. Il faisait entre -7 et -8 degrés.
Hier, donc, je sens du changement et je me rends compte qu'il fait moins froid. Pour m'en assurer, je retourne consulter le thermomètre qui affiche 7°. Ça reste bien en deçà de ce que l'on peut espérer comme température confortable mais il y a du mieux, c'est indéniable.

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