![](/public/motos/.moto-07_05_23_t.jpg)
10 heures et 15 minutes. Dimanche 7 mai 2023. Je viens de terminer la mise en couleurs d'un dessin. Je m'apprête à le mettre en ligne sur ce blog.
Un blog qui blogue de temps en temps
10 heures et 15 minutes. Dimanche 7 mai 2023. Je viens de terminer la mise en couleurs d'un dessin. Je m'apprête à le mettre en ligne sur ce blog.
[…]
Il est des objets qui marquent leur époque et les esprits. Pêle-mêle, on peut noter la Traction avant, la coccinelle, la 2cv, la 4L, le Leica M, le Rolleiflex 6x6, sans doute l'iPhone et d'autres qui ne me viennent pas en tête. Ce sont sans doute des objets populaires, vus et revus, connus de tous. Je me dis que, selon les corps de métiers, il doit exister des outils qui, eux aussi, marquent les mémoires.
A Bilhac, j'ai vu un side-car BMW qui ne passerait peut-être pas le contrôle technique.
A Bilhac, on pouvait voir des motos d'enduro restaurées à la perfection. Quelques SWM italiennes à moteurs Rotax et une petite 50cc Gitane-Elf à moteur Minarelli P6 ainsi qu'une Portal 250cc à moteur Rotax. L'occasion de replonger quarante ans en arrière, entre la fin des années 70 et le début des années 80.
Aujourd'hui, dans le meilleur des cas, Motobécane est ce constructeur qui a produit ses cyclomoteurs à la mode que l'on s'arrache à des prix fous pour parader aux côtés d'autres cyclomoteurs en tous points semblables. Les vieilles mobs si encensées en nos jours modernes étaient pourtant moquées il n'y a pas si longtemps. Durant des décennies, la marque Motobécane n'était connue que pour ses Mobylettes.
Suite du billet d'hier. Cette fois-ci, nous sommes dans la bourse d'échange. Sur un stand, je vois un véhicule que je connais. Un vélomoteur communiste, de Tchécoslovaquie, né sur les cendres de Jawa qui fut une marque sérieuse et respectable. Ce vélomoteur vendu sous la marque CZ a connu une carrière commerciale satisfaisante dans les pays de l'ouest où elle était distribuée surtout de par son prix défiant toute concurrence.
Ce n'est pas tous les jours que l'on va en Corrèze et encore moins souvent que l'on va à Bilhac, petit village de ce département, à quelques pas du Lot voisin. Ce n'est pas tous les jours que l'on a une raison de s'y rendre. Or, il se trouve que l'occasion s'est présentée de quitter la Dordogne pour se rendre dans ces deux départements limitrophes en l'espace d'un week-end. Comme on le dit communément, je ne ferais pas ça tous les jours.
Jorge Pedro Alvarez est un brillant électronicien amateur et automotodidacte. Dans son garage, il a conçu et mis au point un système de pilotage informatisé qui permet d'assurer les différentes fonctions nécessaires à la conduite de sa motocyclette grâce à l'interaction avec un ordinateur de bord et un clavier, le tout relié par wifi à une centrale domestique. Il projette de présenter son prototype à la presse spécialisée sous peu.
Hier, en marge de[1] la manifestation contre la réforme des retraites, à Périgueux, tandis que le cortège s'étiolait une fois de retour au point de départ, je me dirigeais vers l'une des extrémités de la place Tourny lorsqu'un véhicule peu habituel attirait mon regard et l'objectif de l'appareil photo.
[1] expression très appréciée des journalistes de toute sorte
Comme chaque vendredi soir de la semaine depuis la nuit des temps, Augustin va se bourrer la gueule pour fêter ce vendredi soir qui est le moment de la semaine durant lequel il se bourre la gueule. C'est une tradition.
C'est rue de Monceau, à Paris, que nous rencontrons Julot pour la présentation de sa motocyclette "fabriquée maison" avec laquelle il projette de battre un record de vitesse sur le lac salé de Sarcelles.
Lorsque Jean-Marcel lit cette offre d'emploi dans le journal, au comptoir du bistro où il avale son café chaque matin en discutant avec les autres habitués de la météo ou du dernier 49-3, il se dit que ce poste est pour lui et il demande un stylo et un bout de papier pour noter les coordonnées à […]