dessin
Canicule. Urgence à faire quelque chose, même n'importe quoi
Question d'honneur
Je dis ça, je dis rien, hein…
Vous ferez bien comme vous voudrez mais si vous cliquez sur l'image, il se pourrait bien que vous eussiez la possibilité de voir la suite du feuilleton en BD de Liaan vers 08:39 ce jour même.
Des glaçons qui tombent du ciel
Cultures broyées, vignes hachées, toitures arrachées, populations traumatisées, les récentes averses de grêle ont durement marqué les esprits et alimenté les papiers journalistiques. Il est bien possible que ce soit un des nombreux effets du dérèglement climatique et il est bien possible aussi qu'il faille nous préparer à revivre de pareils événements dans un proche avenir.
Musique d'été
You shot me down… Bang ! Bang !
Si la critique est aisée
Bientôt
Journalisme d'investigation et orthographe de guerre
Lorsque le journal Sud-Ouest a une information de la plus haute importance qu'il faut absolument dévoiler dans les délais les plus brefs, ici, en l'occurrence, des promotions sur les carburants (c'est hyper important, si, si…), il peut arriver que la priorité ne soit pas donnée à de basses questions orthographiques. Ça a au moins le mérite de m'amuser un peu. Bien sûr, la rédaction a été assez prompte à corriger son erreur. Ouf.
Optimisme relatif
Sans minimiser ni le drame actuel ni les menaces inquiétantes qui planent sur l'Humanité, il convient malgré tout de conserver un sourire de bon aloi et de voir le bon côté des choses. Déjà, cette guerre, pas encore tout à fait mondialisée, a permis à nos chers journalistes d'oublier la COVID-19 et cette sombre affaire dont personne ne se soucie réellement des élections présidentielles françaises dont l'issue semble bien arrêtée avant même que le premier bulletin soit glissée dans l'urne.
Le drame existe bien, je n'en disconviens pas un instant. Poutine est sans aucun doute légèrement inquiétant, je vous l'accorde. La menace des missiles nucléaires n'engage pas à l'hilarité, je le condède. Cependant…
Tout fout le camp !
La guerre nucléaire qui se profile à l'horizon, Taubira qui jette l'éponge, le prix du gas-oil qui n'en finit pas de battre des records, Bernard Arnault qui aurait perdu 5 centimes d'euro… Tout va de mal en pis et rien ne permet de penser que ça va s'arranger.
Boum !