Les Français pris en otage

Les journalistes ont mouillé la chemise et sont allés à la rencontre des Français désemparés face à la pénurie de carburants. Bravant le vent, la pluie et les postillons, ils ont tendu leur micro aux automobilistes en colère. Ce journalisme de terrain là, c'est ce que l'on appelle du micro-trottoir. Ce journalisme là n'est pas loin de ce que l'on peut produire de moins pertinent en terme de journalisme.

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