Ben non, les Japs ne l'ont pas copiée.
Un quatre cylindre en long ? C'était plutôt vieillot lorsque les Japonais se sont mis à fabriquer des deux-roues motorisés.
Les Japs avaient bien vu qu'en automobile, le moteur avais été mis en travers depuis 1959 avec la Rustine Mini.
Y-z-ont vu z'aussi ce que les Italiens faisaient en motos de course, ou par cheux nous, avec la 4 cylindres Nougier, y-z-ont fait tout pareil, ces copieurs sans imagination aucune.
Tiens, y'a un spécial Sukuzy qu'a sorti en kiosques, ces temps-ci, et vous me croirez si vous voulez, mais je l'avons acheté, voui M'sieur Jeannot ! Parce que c'était édité par Moto Verrue Classique. Sukuzy était la moins pire des marques japonos, tous les anti motos japonaises vous le diront. Mais pourquoi donc ? Pourquoi ce tout petit intérêt pour les Suzuky ? Parce qu'ils ont pompé MZ, ces vils vilains pas beaux. Sinon, ils seraient complètement ahnihillés, anhnihilés, ils auraient entièrement disparu. D'ailleurs, dans la revue, on passe très rapidement sur la trahison de ce pilote-ingénieur est-allemand dont je me refuse d'écrire le nom, tellement ce nom est devenu maudit.
Bref.
Jolie photographie, avec un traitement très graphique qui permet d'admirer dans le détail cette belle motocyclette.
Munie d'une suspension à l'arrière, s'il vous plait !
Je remarque le feu arrière à acétylène. Délicat à maintenir en fonctionnement sur les routes de l'époque.
Z'avez raison, c'est une très belle pétrolette d'époque, dommage que le casque ne soit pas en cuir, pour la photo, je comprends qu'à présent qu'il soit préférable de porter le casque Homo le Gay.
@ On'c Liaan,
Voui, je l'ai aussi, le spécial Suzuki.
J'aime bien cette marque et ses mécaniques chiadées et fiables. Je déplore la faible place accordée aux motos de GP dans ce pavé raccoleur. La RG 500, chef-d'oeuvre de la marque, y est snobée pire que si c'était une Gronda au bénéfice de prépas sans noblesse pour kéké friqué. J'exagère? Oui, tjrs un peu.
À Jeannot lou Paysan :
Les temps ont changé, beaucoup changé. Les nouvelles générations d'amateurs de deux-roues motorisées ignorent tout du passé et on ne fait surtout rien pour leur faire expliquer le pourquoi du comment. Je m'en suis aperçu avec ce que l'on pourrait appeler "l'affaire du D52" dans cette revue prétentieuse de LVM. Je vous l'explique rapidement :
Un brave type d'une bonne soixantaine d'années écrit à LVM, et il explique que vers 1965/1966, il doit attendre ses seize ans et passer le permis de conduire pour pouvoir piloter une Motoconfort C52. Vous voyez le type de machine ? C'est un vélomoteur. Un trou de balle de rédacteur de LVM lui a rétorqué tranquillement qu'il n'y a pas besoin de permis de conduire pour piloter un 50 cm3. Tout ce dialogue bien sûr imprimé en pages courrier de la revue. Les réactions ne se sont pas fait attendre de la part des lecteurs de LVM. Il y a eu même des réactions dans le forum du Motobécane Club de France. Comme le disait un intervenant de ce forum, le "rédacteur" de LVM a considéré que c'était un "mécaboîte" donc pas de permis de conduire. Le "forumeur" ajoutait que ces "rédacteurs" consultent Ouikipédia pour parfaire leurs connaissances . . . Les nouvelles générations n'ont aucune connaissance du passé. Tout ce qui a existé avant l'an 2000 appartient au Moyen-Âge pour eux. Hélas, la presse spécialisée moto ne fait pas grand'chose pour améliorer cet état de fait.
@Liaan : Sauf que non ou plutôt pas tout à fait. Dans ces années là, il n'était pas nécessaire d'avoir un permis de conduire pour les vélomoteurs. Une licence suffisait et on obtenait celle-ci "juste" avec un code.
Y chipote, là, Michel. Pour contrarier On'c Liaan.
Je l'ai passée, justement, cette licence, et malgré tout, elle m'a été délivrée sous la forme d'un permis de conduire A 1. Y a belle lurette.
Le C52, j'en mettrai bien un dans mon garage, même si je préférerais une MZ 125 TS.
Il est vrai qu'il y a du chipotage de la part de Michel.
Cette "licence" équivalait à un permis de conduire, même si l'on ne passait que le "code".
Avant la réforme du code de la route, en 1958, nul besoin de tout ça pour piloter un vélomoteur.
D'où le succès phénoménal des scooters dans ces années d'après guerre,
Lambretta et Vespa avait des usines en France tellement ça se vendait.
Ces engins ne nécessitaient qu'une carte grise.
1 De Jeannot lou Paysan -
Deux paliers seulement pour le vilebrequin de la moto tuyau de poêle du professeur.
C'est une chouette et intéressante bécane, effectivement.
On'c Liaan va bien nous seriner que les japs l'ont copiée.
2 De Onc'Liaan -
Ben non, les Japs ne l'ont pas copiée.
Un quatre cylindre en long ? C'était plutôt vieillot lorsque les Japonais se sont mis à fabriquer des deux-roues motorisés.
Les Japs avaient bien vu qu'en automobile, le moteur avais été mis en travers depuis 1959 avec la Rustine Mini.
Y-z-ont vu z'aussi ce que les Italiens faisaient en motos de course, ou par cheux nous, avec la 4 cylindres Nougier, y-z-ont fait tout pareil, ces copieurs sans imagination aucune.
Tiens, y'a un spécial Sukuzy qu'a sorti en kiosques, ces temps-ci, et vous me croirez si vous voulez, mais je l'avons acheté, voui M'sieur Jeannot ! Parce que c'était édité par Moto Verrue Classique. Sukuzy était la moins pire des marques japonos, tous les anti motos japonaises vous le diront. Mais pourquoi donc ? Pourquoi ce tout petit intérêt pour les Suzuky ? Parce qu'ils ont pompé MZ, ces vils vilains pas beaux. Sinon, ils seraient complètement
ahnihillés,anhnihilés, ils auraient entièrement disparu. D'ailleurs, dans la revue, on passe très rapidement sur la trahison de ce pilote-ingénieur est-allemand dont je me refuse d'écrire le nom, tellement ce nom est devenu maudit.Bref.
Jolie photographie, avec un traitement très graphique qui permet d'admirer dans le détail cette belle motocyclette.
Munie d'une suspension à l'arrière, s'il vous plait !
Je remarque le feu arrière à acétylène. Délicat à maintenir en fonctionnement sur les routes de l'époque.
3 De fifi -
Onc'Liaan:
4 De fifi -
Z'avez raison, c'est une très belle pétrolette d'époque, dommage que le casque ne soit pas en cuir, pour la photo, je comprends qu'à présent qu'il soit préférable de porter le casque Homo le Gay.
5 De Jeannot lou Paysan -
@ On'c Liaan,
Voui, je l'ai aussi, le spécial Suzuki.
J'aime bien cette marque et ses mécaniques chiadées et fiables. Je déplore la faible place accordée aux motos de GP dans ce pavé raccoleur. La RG 500, chef-d'oeuvre de la marque, y est snobée pire que si c'était une Gronda au bénéfice de prépas sans noblesse pour kéké friqué. J'exagère? Oui, tjrs un peu.
6 De Liaan -
À Jeannot lou Paysan :
Les temps ont changé, beaucoup changé. Les nouvelles générations d'amateurs de deux-roues motorisées ignorent tout du passé et on ne fait surtout rien pour leur faire expliquer le pourquoi du comment. Je m'en suis aperçu avec ce que l'on pourrait appeler "l'affaire du D52" dans cette revue prétentieuse de LVM. Je vous l'explique rapidement :
Un brave type d'une bonne soixantaine d'années écrit à LVM, et il explique que vers 1965/1966, il doit attendre ses seize ans et passer le permis de conduire pour pouvoir piloter une Motoconfort C52. Vous voyez le type de machine ? C'est un vélomoteur. Un trou de balle de rédacteur de LVM lui a rétorqué tranquillement qu'il n'y a pas besoin de permis de conduire pour piloter un 50 cm3. Tout ce dialogue bien sûr imprimé en pages courrier de la revue. Les réactions ne se sont pas fait attendre de la part des lecteurs de LVM. Il y a eu même des réactions dans le forum du Motobécane Club de France. Comme le disait un intervenant de ce forum, le "rédacteur" de LVM a considéré que c'était un "mécaboîte" donc pas de permis de conduire. Le "forumeur" ajoutait que ces "rédacteurs" consultent Ouikipédia pour parfaire leurs connaissances . . . Les nouvelles générations n'ont aucune connaissance du passé. Tout ce qui a existé avant l'an 2000 appartient au Moyen-Âge pour eux. Hélas, la presse spécialisée moto ne fait pas grand'chose pour améliorer cet état de fait.
7 De Michel -
@Liaan : Sauf que non ou plutôt pas tout à fait. Dans ces années là, il n'était pas nécessaire d'avoir un permis de conduire pour les vélomoteurs. Une licence suffisait et on obtenait celle-ci "juste" avec un code.
8 De Jeannot lou Paysan -
Y chipote, là, Michel. Pour contrarier On'c Liaan.
Je l'ai passée, justement, cette licence, et malgré tout, elle m'a été délivrée sous la forme d'un permis de conduire A 1. Y a belle lurette.
Le C52, j'en mettrai bien un dans mon garage, même si je préférerais une MZ 125 TS.
9 De Liaan -
Il est vrai qu'il y a du chipotage de la part de Michel.
Cette "licence" équivalait à un permis de conduire, même si l'on ne passait que le "code".
Avant la réforme du code de la route, en 1958, nul besoin de tout ça pour piloter un vélomoteur.
D'où le succès phénoménal des scooters dans ces années d'après guerre,
Lambretta et Vespa avait des usines en France tellement ça se vendait.
Ces engins ne nécessitaient qu'une carte grise.