Imaginons que je place du texte ici, du texte sans aucune importance, juste pour remplir, du texte écrit d'une manière automatique ou presque, sans réfléchir à ce que je saisis sur le clavier de l'ordinateur (et là, je suis en train de me dire que j'aurais tout aussi bien pu prendre du texte de remplissage tel que ceux que l'on trouve aisément sur internet pour peu que l'on prenne la peine de le chercher), imaginons donc cela et faisons l'effort d'envisager qu'une image vienne se positionner sur la droite de ce texte.
Bon. Bien. Pour cette image, j'aurais aussi pu utiliser n'importe quoi et même, pourquoi pas, juste un bloc de couleur. Ce n'est pas important, c'est juste histoire de mettre quelque chose à droite. Ça aurait, bien sûr, pu être à gauche mais là, j'ai d'abord pensé mettre le texte à gauche. C'est une question de choix. Toujours est-il que je mets un morceau de dessin sur lequel je travaille en ce moment, à mes heures perdues (et elles sont nombreuses). J'en suis encore à l'encrage, il est presque terminé. Après, il faudra passer à la mise en couleurs mais je n'aime pas vraiment faire ça. Peu importe.
A un moment donné, de toute manière, le texte devrait se placer sous l'image pour peu qu'il soit assez long. J'espère que vous n'êtes pas vraiment en train de lire ça. Ce serait dommage que vous en soyez réduit à perdre votre temps à lire du texte qui n'a pas pour vocation d'être lu. Vous n'avez vraiment rien de mieux à faire ? La vaisselle ? Du reprisage de chaussette ? Une blanquette de veau ? Non ? Ah ! Quel malheur !
1 De Waldo7624 -
Faut vraiment avoir du temps à perdre ! Ça ne devrait pas être mon cas, puisqu'il m'est compté (vu l'âge...) et pourtant... elle tourne ! (l'horloge)
2 De Waldo7624 -
Masochisme : Comportement d'une personne qui trouve du plaisir à souffrir, qui recherche la douleur et l'humiliation.
Malgré l'évidence, ayant fini la vaisselle et n'ayant pas de chaussettes à repriser, je reviens sur le sujet fort intéressant de ce jour.
Commenter le texte ? À quoi bon. On ne pourrait en dire que des banalités, alors qu'une force expressive tant géniale qu'incompressible se cache dans chaque phrase, chaque mot, et même chaque lettre composant ces mots.
Un exemple, au hasard : l'emploi de morceau. L'auteur aurait pu écrire marceau, suggérant alors la présence virtuelle du grand mime, et par là même l'idée qu'il aurait pu mimer son texte au lieu de l'écrire. Mais non, le choigt de morceau est délibérément assumé. Chapeau !
Le dessin ? Il suggère une sorte de paysage indonésien ou genre, mais on se pose alors la question Y a-t-il des volcans en Indonésie ? assurément oui, mais on nous ment tellement (voir les post précédents), alors une folle envie de prendre un billet d'avion pour Jakarta vous prend aux tripes, et là on vous répond que la CGT bloque Roissy ! Le désespoir vous submerge ! Et on ne sait plus que dire...
3 De Waldo7624 -
Jamais deux sans trois.
Au fait, le saviez-vous ? L’origine de ce vieux proverbe remonte à l’antiquité. En Turquie, alors que les turcs n’existaient encore même pas, était la célèbre ville de Troie, proche de l’actuel détroit des Dardanelles.
Les habitants de la cité antique étaient très friands d’omelettes, et les omelettes de Troie étaient alors renommées dans toute la région, jusqu’en Grèce. Ce fût même, en réalité, la raison qui poussa les grecs à venir jusque là, assiéger la ville afin de dérober quelques poules Denizli qui, seules, pouvaient pondre les œufs merveilleux capables de donner ce goût extraordinaire aux omelettes de Troie. Les Troyens se défendirent becs et ergots afin de garder leurs poules, les œufs qui vont avec, et surtout pas envisager d'utiliser d’autres œufs venus d’ailleurs, d’on ne sait où, des oeufs de migrants, quoi... Et leur devise devint « Jamais d’œufs sans Troie »
Bon, après il y eu la guerre de 14, Erdogan, le Mont Saint-Michel, la Mère Poulard, etc. On connaît la suite.
Bon, c'est pas facile non plus de trouver quelque chose à dire aujourd'hui...
C’est pas tout ça, mais je vais aller me faire cuire un œuf, moi...
4 De Michel -
Il existe, en Guadeloupe, une rivière, La Rate. Longue d'environ 2,3 km, la rivière prend sa source à 263 m d'altitude au morne Caféière. Son cours est régulier.
Or, on me l'a rapporté, le long de cette rivière nichent des poules autochtones, de ravissantes poules qu'accompagnent de charmants coqs, des gallinacées aux magnifiques plumes colorées de grande taille qui, autrefois, servaient de parures aux peuples premiers.
Bien sûr, parce qu'elles n'en sont pas moins poules pour autant, ces oiseaux pondent des œufs. Enfin… Quand je dis, un peu abusivement, que ces oiseaux pondent des œufs, bien sûr, il convient de comprendre que ce ne sont que les plus féminins d'entre-eux qui le font.
Ces œufs ont une coquille d'un rouge orangé pâle parfait, qui ne tire trop ni sur le vert ni sur le rouge. Un beau jaune coquille d'œuf, pour tout dire.
Avec ces œufs, on fait, comme dans la bonne ville de Troie, des omelettes. C'est, avec le temps devenu la spécialité culinaire de ce petit coin de paradis des Antilles françaises et les touristes chanceux ont le bonheur de pouvoir déguster ce met savoureux et rare. Ce qui donne tout son goût à ces omelettes est lié directement aux œufs de ces poules que l'on ne trouve pas ailleurs dans le monde. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il leur a été attribué le label IGP d'œuf Rate, ceci en raison du nom de la rivière.
5 De Jeannot lou Paysan -
Il paraît que de la Rate, le cours bouillonne. De là à en déduire que Frédéric Dard s'est inspiré de cours d'eau pour titrer un de ses fameux San Antonio, il y a un pas que je ne saurais franchir.
6 De Jeannot lou Paysan -
...de CE cours d'eau...
Rhââââ !!! Saloperie de smartphone !!!
7 De Waldo7624 -
Ça me rappelle cette autre anecdote qu'on raconte à propos de Clémenceau.
Ce dernier avait été interdit de poulailler, suite à une légende urbaine prétendant qu'il suffisait qu'il y pénètre pour faire échouer toute tentative de ponte de la part des volailles ! Allez comprendre...
8 De Tournesol -
Oui bien sûr mais quand même.Il est difficile de parler de tout et de rien,selon le fil de la pensée,en écriture automatique,sans se prendre pour un surréaliste.Et pourquoi être surréaliste quand la réalité n’est pas sure?
On trouve sur radio France,mais aussi ailleurs,l’écho d’expériences pouvant démontrer un lien entre dépression et microbiote,c’est à dire que les déprimés n’ont pas les mêmes bactéries intestinales que les non déprimés.
Forts de cela,des savants (un savant est un type qui réalise des actions que ne renierait pas un abruti,mais avec un argument scientifique )des savants ,donc,ont stressé des cailles,puis ils ont recueilli leur microbiote et l’ont administré à des cailleteaux réputés non stressés,heureux de vivre en Macro nie.Ben ces pauvres bêtes se sont mises à se comporter comme des cailles stressées.Bon , il y a loin de la caille à l’homme ( moins loin pour la femme )mais ces braves savants se demandent s’ils n’ont pas trouvé le microbe du stress et si l’on ne pourrait pas remplacer les anxiolytiques par des gélules de bactéries intestinales de moines zen…
On vit une époque formidable.Mes infos sur les stresseurs de cailles viennent du site Univadis.
9 De Tournesol -
Vé,de Clemenceau à propos de la mort de Félix Faure : en entrant dans le néant il a du se sentir chez lui.
10 De Michel -
Léo Campion ou Georges Clémenceau
11 De Sax/Cat -
Quand même des fois la Rate a des crues, on dit alors que l'on a la Rate qui se dilate.
12 De Michel -
Ouvrard.
13 De Iznogoud, grand vizir -
Ce Dilat Laraht est un bon à rien !
14 De fifi -
@ Tournesol :
( moins loin pour la femme )
Vous voulez dire par là : déguster la caille sur canapé.
;-)
15 De Tournesol -
Fifi : je veux bien le dire :-))