Donc, voici à quoi m'a fait songer ce beau dessin de Michel.
Ce sont deux clochards sous un pont au bord de la seine, ils n'ont rien avalé de solide depuis plusieurs jours.
Soudain, il y en a un qui voit quelque chose qui flotte à la surface :
" -- tain ! un macchabée, aide moi, p't'ê ben qu'il a un larfeuille, on va le r'monter pour voir ! "
Les gus font les fouilles, que dalle !
" Pas un rotin, et moi qui crève de faim, tant pis ! Je vais lui ouvrir la panse ".
Il sort son Opinel et ouvre la bedaine du noyé.
- " Putain, des pâtes, j'en raffole ", le gus avale tant qu'il peut, se retourne et dit à son collègue;
- " Ben, tu manges pas ? "
- " Beurk ! tes pâtes sont froides ".
L'autre continue à se baffrer, puis s'arrête pour respirer un peu. Il boit un coup d'rouge qui tâche, ça commence à gargouiller dans son estomac ... et
Beeuurrk ! Il renverse tout sur le quai.
Son acolyte alcoolique s'esclame :
- " Ah ! Maintenant elles sont chaudes ".
@Jeannot lou Paysan : Sûr !
@Tournesol : on ne m'a pas appelé. Je pourrais peut-être leur communiquer mon numéro de téléphone ?
@fifi : Ah ! Voilà de l'humour frais et de bon aloi ! Merci !
1 De Jeannot lou Paysan -
Effectivement c'est un progrès espéré par beaucoup d'amateurs de macaronis.
2 De Liaan -
J'ai toujours pensé que pour refroidir les centrales nucléaires, il fallait employer des pâtes.
Je n'ai jamais vu un truc chaud refroidir aussi vite.
3 De Tournesol -
Mais pourquoi vous n’êtes pas déjà au gouvernement ?
4 De Jeannot lou Paysan -
C'est quand même un dessin très rigolo qui aurait pu faire la couv' de Hara-kiri.
5 De fifi -
Quel visionnaire plein d'humour, il fallait la trouver celle-ci.
6 De fifi -
Donc, voici à quoi m'a fait songer ce beau dessin de Michel.
Ce sont deux clochards sous un pont au bord de la seine, ils n'ont rien avalé de solide depuis plusieurs jours.
Soudain, il y en a un qui voit quelque chose qui flotte à la surface :
" -- tain ! un macchabée, aide moi, p't'ê ben qu'il a un larfeuille, on va le r'monter pour voir ! "
Les gus font les fouilles, que dalle !
" Pas un rotin, et moi qui crève de faim, tant pis ! Je vais lui ouvrir la panse ".
Il sort son Opinel et ouvre la bedaine du noyé.
- " Putain, des pâtes, j'en raffole ", le gus avale tant qu'il peut, se retourne et dit à son collègue;
- " Ben, tu manges pas ? "
- " Beurk ! tes pâtes sont froides ".
L'autre continue à se baffrer, puis s'arrête pour respirer un peu. Il boit un coup d'rouge qui tâche, ça commence à gargouiller dans son estomac ... et
Beeuurrk ! Il renverse tout sur le quai.
Son acolyte alcoolique s'esclame :
- " Ah ! Maintenant elles sont chaudes ".
7 De Michel -
@Jeannot lou Paysan : Sûr !
@Tournesol : on ne m'a pas appelé. Je pourrais peut-être leur communiquer mon numéro de téléphone ?
@fifi : Ah ! Voilà de l'humour frais et de bon aloi ! Merci !