Ce beau dessin ne fait pas recette.
Je me souviens que dans mon enfance, le nobliau local roulait en Jaguar. Il aurait eu les moyens de se payer une Facelia. Ça aurait été l'union de deux fins de race.
Le papa du ci-devant baronnet roulait en Vedette, et tout ce beau monde vivait au château.
Ma foi, c'était daté, suranné, et même condamné, mais ça avait une forme de classe. Et dans la commune à côté nous avions aussi un marquis, dans son castel itou, qui roulait 15 Six, lui.
La lente agonie de la particule vers 1965.
Si loin de 1789!
Eh oui, je digresse, la faute à cette bagnole pour rupin de l'époque.
Tout ceci m'évoque Maigret et l'affaire St Fiacre. Pas si fictive que ça, l'histoire, question biotope.
Ce beau dessin ne fait pas recette...
Vu de mon côté, ce genre de dessin me laisse complétement froid.
On dirait la bouboule la Terre avant l'arrivée de la vie : rien, le vide, pas un troquet, pas une mob, rien.
@ Jeannot lou Paysan :
Quand j'étais môme, c'est le boucher de mon quartier qui avait une Beaulieu.
Je n'ai pas de souvenir de plus grosse bagnole dans les environs.
Le voisin d'en face avait une Vespa, il nous avait emmené faire un tour du pâté de maisons. Debout sur le tablier, les mains sur le guidon, c'était une aventure pour nous. Les parents laissaient faire. Toute une époque. Révolue, tout ça.
Bah, quand j'étais môme, nous avions un terrain d'aviation à une dizaine de bornes de la maison, une cité américaine à deux kilomètres où ma mère y faisait des ménages, gardait les enfants, j'allais la rejoindre à la sortie de l'école, il y en avait de la grosse bagnole avec des tableaux de bords grands comme ça, il y avait la radio, ça brillait de partout avec leurs chromes étincelants, à côté de cela, pour nous, ce dont je me souvienne, il y avait Bébert Gelin avec son cheval Mouton et le père Chevereau avec sa "Juva 4 ", mis à part les parisiens qui venaient les week end et les vacances, question caisses, ça pété pas bien haut.
Dans la rubrique souvenirs d'enfance :
Parfois, le dimanche, nous étions motorisés : il y avait le camion Citroën 23 du cousin maçon.
Nous voyagions dans la benne, parents et gosses. Va raconter ça aux jeunes, ils ne vont pas en croire un mot.
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1 De Tournesol -
Toujours plaisante à regarder…
2 De W-7624 -
Ah !... Enfin un sujet intéressant ! Dans une robe peu courante.
C'est une nouvelle e-version ?
3 De Jeannot lou Paysan -
Toujours à la poursuite d'Alfa-Roméo?
4 De Jeannot lou Paysan -
Ce beau dessin ne fait pas recette.
Je me souviens que dans mon enfance, le nobliau local roulait en Jaguar. Il aurait eu les moyens de se payer une Facelia. Ça aurait été l'union de deux fins de race.
Le papa du ci-devant baronnet roulait en Vedette, et tout ce beau monde vivait au château.
Ma foi, c'était daté, suranné, et même condamné, mais ça avait une forme de classe. Et dans la commune à côté nous avions aussi un marquis, dans son castel itou, qui roulait 15 Six, lui.
La lente agonie de la particule vers 1965.
Si loin de 1789!
Eh oui, je digresse, la faute à cette bagnole pour rupin de l'époque.
Tout ceci m'évoque Maigret et l'affaire St Fiacre. Pas si fictive que ça, l'histoire, question biotope.
5 De Liaan -
Ce beau dessin ne fait pas recette...
Vu de mon côté, ce genre de dessin me laisse complétement froid.
On dirait la bouboule la Terre avant l'arrivée de la vie : rien, le vide, pas un troquet, pas une mob, rien.
6 De Liaan -
@ Jeannot lou Paysan :
Quand j'étais môme, c'est le boucher de mon quartier qui avait une Beaulieu.
Je n'ai pas de souvenir de plus grosse bagnole dans les environs.
Le voisin d'en face avait une Vespa, il nous avait emmené faire un tour du pâté de maisons. Debout sur le tablier, les mains sur le guidon, c'était une aventure pour nous. Les parents laissaient faire. Toute une époque. Révolue, tout ça.
7 De fifi -
Bah, quand j'étais môme, nous avions un terrain d'aviation à une dizaine de bornes de la maison, une cité américaine à deux kilomètres où ma mère y faisait des ménages, gardait les enfants, j'allais la rejoindre à la sortie de l'école, il y en avait de la grosse bagnole avec des tableaux de bords grands comme ça, il y avait la radio, ça brillait de partout avec leurs chromes étincelants, à côté de cela, pour nous, ce dont je me souvienne, il y avait Bébert Gelin avec son cheval Mouton et le père Chevereau avec sa "Juva 4 ", mis à part les parisiens qui venaient les week end et les vacances, question caisses, ça pété pas bien haut.
8 De fifi -
( pétAIT ) :Rôôô !
9 De Liaan -
Dans la rubrique souvenirs d'enfance :
Parfois, le dimanche, nous étions motorisés : il y avait le camion Citroën 23 du cousin maçon.
Nous voyagions dans la benne, parents et gosses. Va raconter ça aux jeunes, ils ne vont pas en croire un mot.