samedi 27 juin 2020
Mot-clé - cocorico
dimanche 5 août 2018
Coq charentais
C'était le dimanche dernier. Au petit matin, le coq réveillait les bien fatigués participants de la première édition de la foutraque (mais réussie) saint Cani. Fatigués, ils l'étaient en raison des dignes libations auxquelles ils s'adonnèrent jusqu'à une heure déjà bien avancée de la nuit. Le réveil matin emplumé avait décidé qu'il était pour lui l'heure de remplir sa mission et c'était comme ça. Nous fûmes plusieurs à penser alors que nous eussions été bien avisés de le cuisiner avec du bon vin la veille, ce prétentieux mais consciencieux volatile. Sale bête !
lundi 5 mars 2018
Ça frise l'Excellence
jeudi 7 septembre 2017
Des populaires aux Vintage Days
Lorsque l'on est écœuré de trop de luxe tapageur, que les Jaguar ou autres Bentley vous sortent par les trous de nez, quoi de mieux que de diriger son regard vers les véhicules populaires ? Et il se trouve que de ces modestes véhicules, il y en avait aussi à Périgueux.
Après sa nationalisation, Renault se dirige vers l'automobile destinée aux masses laborieuses. On a un truc conçu pendant les années de guerre, un machin propulsé par un moteur à quatre cylindres placé à l'arrière. Parce que l'on ne manque pas d'imagination, à la RNUR, on l'appelle "4cv". Elle est produite jusqu'en 1961 sans grands changements.
On le constate sur la dernière image, le luxe (et même le grand luxe) n'est pas oublié chez Renault. Il s'agit là d'un luxe modeste. Point de cuir Connoly, de ronce de noyer, d'aluminium bouchonné mais quelques accessoires supplémentaires et un gain de quelques chevaux. De cette 4cv, on cherche à concevoir un nouveau modèle. Ce sera la Dauphine.
Sur la deuxième image, on est épaté par le nombre de dispositifs d'éclairage en présence. Je me suis renseigné auprès de son propriétaire qui m'a appris qu'il avait réalisé lui-même (et en tôle s'il vous plaît !) ce capot qui donne un aspect bien sportif à cette modeste Dauphine.
Motoconfort et Motobécane sont au rendez-vous pour illustrer la mobilité mécanique du petit peuple, de la France d'en-bas, du gagne-petit, du laborieux.
Il n'en reste pas moins vrai que l'on n'a pas besoin d'engin d'exception pour afficher un grand sourire et tutoyer le bonheur simple. La preuve ces deux jeunes gens chevauchant un GT10 et un TSA Peugeot, deux sympathiques cyclomoteurs que l'on prend plaisir à revoir.
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