On l'imagine moins bien en cathédrale.
Les phares ont un je ne sais quoi de Facel Vega. J'ai connu un vieux kroum qui en avait une dans les 70's. Les mauvaises langues affirmaient qu'il la devait à un container parachuté en 44. Le genre sapé en loden, avec un foulard autour du cou pour cacher son début de goître. Et radin avec ça ! Bernique pour les pourliches. Je suis sûr que c'était vrai, cette histoire de parachute plein de billets.
Une trop belle bagnole, mal accordée à votre tempérament, entraîne potentiellement des jalousies. C'est pourquoi j'ai un Duster, malgré mon immense fortune ;-))
J’ai tendance à trouver que les Mercedes des années 60 à 80 avaient un côté massif et ostentatoire.Ce coupé est plus fin.Les coupés 504 me font le même effet.
Au nom du chauvinisme, préférer l'Italienne à la Française, je ne pige pas. Comparer les 504 coupé et cabriolet aux Mercedes-Benz de mêmes catégories, je ne comprends pas non plus.
@Michel : si la carrosserie est italienne, elle est siglée Peugeot. Et Peugeot, à l'époque, c'était une marque française. Aujourd'hui ça ne veut plus dire grand chose, mais lorsqu'elle est sortie, la voiture était plus considérée comme française qu'italienne. Quant à la Mercedes, même si le "designer" est français, elle reste siglée allemande. Donc, en l'occurrence, ma préférence aveuglée par un chauvinisme obtus, ira à la 504. Après, cela relève de la psychiatrie, et Tournesol, qui a déclenché cette polémique stérile, sera le mieux placé pour tenter de justifier, ou pas, cette folie.
Et, éventuellement, rédiger une ordonnance si ça se soigne...
Le droit romain nous enseigne que « desipere est juris gentium « : divaguer est un droit des gens.
La sagesse épicurienne,avec Horace,nous assure qu’il est doux de délirer entre gens choisis ( dulce est desipere in loco).
Chauvinisme ou pas,j’aime bien la 504.Et les préférences sont impossibles à justifier sans mauvaise foi :-)))
C'est exactement la devise de la clique de Pascal Prau, sur CNews.
Mais je ne suis pas un expert. Le délire, vu par Horace, me semble être un truc plutôt sympa.
Je m’épargne depuis longtemps la fréquentation de CNew,que je connais essentiellement par un voisin prosélyte qui cherche à me faire ouvrir les yeux sur le plan politique !!!
Délirer,divaguer,quand on sait qu’on délire est un plaisir.
@ Tournesol: moi, c'est au bistrot du coin. Cnews en boucle, sauf à l'heure du tiercé, quand je vais acheter mon Télé Z ou boire mon jus. Il faut dire qu'ici, le R-haine a beaucoup de succès ;-((
Dans les délires francs il y a l’obsession de Manuel de faire du neuf avec du vieux ( et des vieux).Cette tendance a répéter les mêmes erreurs sans pouvoir tirer de leçons des expériences précédentes sent la sénescence précoce.
Ou alors il nous prend pour plus cons qu’on est !
1 De Jeannot lou Paysan -
On l'imagine moins bien en cathédrale.
Les phares ont un je ne sais quoi de Facel Vega. J'ai connu un vieux kroum qui en avait une dans les 70's. Les mauvaises langues affirmaient qu'il la devait à un container parachuté en 44. Le genre sapé en loden, avec un foulard autour du cou pour cacher son début de goître. Et radin avec ça ! Bernique pour les pourliches. Je suis sûr que c'était vrai, cette histoire de parachute plein de billets.
Une trop belle bagnole, mal accordée à votre tempérament, entraîne potentiellement des jalousies. C'est pourquoi j'ai un Duster, malgré mon immense fortune ;-))
2 De Tournesol -
J’ai tendance à trouver que les Mercedes des années 60 à 80 avaient un côté massif et ostentatoire.Ce coupé est plus fin.Les coupés 504 me font le même effet.
3 De Waldo7624 -
@Tournesol. Joli, oui, mais je préfère le coupé 504, chauvinisme oblige.
4 De Tournesol -
Waldo 7624: on est d’accord.
5 De Jeannot lou Paysan -
Ah ben non alors. Pour une fois je préfère la voiture-panzer.
Il y a ce qu'on voit, et ce qu'on ne voit pas. Sous le capot par exemple.
6 De Michel Loiseau -
Au nom du chauvinisme, préférer l'Italienne à la Française, je ne pige pas. Comparer les 504 coupé et cabriolet aux Mercedes-Benz de mêmes catégories, je ne comprends pas non plus.
7 De Waldo7624 -
@Michel : si la carrosserie est italienne, elle est siglée Peugeot. Et Peugeot, à l'époque, c'était une marque française. Aujourd'hui ça ne veut plus dire grand chose, mais lorsqu'elle est sortie, la voiture était plus considérée comme française qu'italienne. Quant à la Mercedes, même si le "designer" est français, elle reste siglée allemande. Donc, en l'occurrence, ma préférence aveuglée par un chauvinisme obtus, ira à la 504. Après, cela relève de la psychiatrie, et Tournesol, qui a déclenché cette polémique stérile, sera le mieux placé pour tenter de justifier, ou pas, cette folie.
Et, éventuellement, rédiger une ordonnance si ça se soigne...
8 De Tournesol -
Le droit romain nous enseigne que « desipere est juris gentium « : divaguer est un droit des gens.
La sagesse épicurienne,avec Horace,nous assure qu’il est doux de délirer entre gens choisis ( dulce est desipere in loco).
Chauvinisme ou pas,j’aime bien la 504.Et les préférences sont impossibles à justifier sans mauvaise foi :-)))
9 De Jeannot lou Paysan -
C'est exactement la devise de la clique de Pascal Prau, sur CNews.
Mais je ne suis pas un expert. Le délire, vu par Horace, me semble être un truc plutôt sympa.
10 De Tournesol -
Je m’épargne depuis longtemps la fréquentation de CNew,que je connais essentiellement par un voisin prosélyte qui cherche à me faire ouvrir les yeux sur le plan politique !!!
Délirer,divaguer,quand on sait qu’on délire est un plaisir.
11 De Jeannot lou Paysan -
@ Tournesol: moi, c'est au bistrot du coin. Cnews en boucle, sauf à l'heure du tiercé, quand je vais acheter mon Télé Z ou boire mon jus. Il faut dire qu'ici, le R-haine a beaucoup de succès ;-((
12 De Tournesol -
Dans les délires francs il y a l’obsession de Manuel de faire du neuf avec du vieux ( et des vieux).Cette tendance a répéter les mêmes erreurs sans pouvoir tirer de leçons des expériences précédentes sent la sénescence précoce.
Ou alors il nous prend pour plus cons qu’on est !
13 De Tournesol -
« la folie c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent « Einstein.