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Satisfaisant
Petit utilitaire
Ré-vo-lu-tion-naire !
De Lyon par sa mère, de l'Yonne par son père, Isidore Debout est inventeur. Sa dernière trouvaille va très certainement révolutionner nos vies.
Réclame
Les petits métiers de la macronie
Le cerveau délabré de Macron n'a pas accouché que de bonnes idées. S'il ne fallait en conserver qu'une, on pourrait sans aucun doute choisir celle de la start-up nation. Là aussi, les échecs sont nombreux mais, contre toute attente, un nouveau métier est né en France et est en passe de devenir l'un de ces « métiers en tension » tant la demande est chaque jour plus importante. Il s'agit du métier d'accordeur de casseroles.
Gnome & Rhône AX2 1938
[…]
La gars à la 90S
Il est des objets qui marquent leur époque et les esprits. Pêle-mêle, on peut noter la Traction avant, la coccinelle, la 2cv, la 4L, le Leica M, le Rolleiflex 6x6, sans doute l'iPhone et d'autres qui ne me viennent pas en tête. Ce sont sans doute des objets populaires, vus et revus, connus de tous. Je me dis que, selon les corps de métiers, il doit exister des outils qui, eux aussi, marquent les mémoires.
Le contrôle et la Bavaroise
A Bilhac, j'ai vu un side-car BMW qui ne passerait peut-être pas le contrôle technique.
Gitane et Portal
A Bilhac, on pouvait voir des motos d'enduro restaurées à la perfection. Quelques SWM italiennes à moteurs Rotax et une petite 50cc Gitane-Elf à moteur Minarelli P6 ainsi qu'une Portal 250cc à moteur Rotax. L'occasion de replonger quarante ans en arrière, entre la fin des années 70 et le début des années 80.
Mal aimée
Aujourd'hui, dans le meilleur des cas, Motobécane est ce constructeur qui a produit ses cyclomoteurs à la mode que l'on s'arrache à des prix fous pour parader aux côtés d'autres cyclomoteurs en tous points semblables. Les vieilles mobs si encensées en nos jours modernes étaient pourtant moquées il n'y a pas si longtemps. Durant des décennies, la marque Motobécane n'était connue que pour ses Mobylettes.
Dans le monde de la motocyclette, tout n'est pas beau et bon
Suite du billet d'hier. Cette fois-ci, nous sommes dans la bourse d'échange. Sur un stand, je vois un véhicule que je connais. Un vélomoteur communiste, de Tchécoslovaquie, né sur les cendres de Jawa qui fut une marque sérieuse et respectable. Ce vélomoteur vendu sous la marque CZ a connu une carrière commerciale satisfaisante dans les pays de l'ouest où elle était distribuée surtout de par son prix défiant toute concurrence.
Le dernier week-end
Ce n'est pas tous les jours que l'on va en Corrèze et encore moins souvent que l'on va à Bilhac, petit village de ce département, à quelques pas du Lot voisin. Ce n'est pas tous les jours que l'on a une raison de s'y rendre. Or, il se trouve que l'occasion s'est présentée de quitter la Dordogne pour se rendre dans ces deux départements limitrophes en l'espace d'un week-end. Comme on le dit communément, je ne ferais pas ça tous les jours.
Mouvement perpétuel
Résister malgré tout à la réforme des retraites imposée par Macron
Ligne claire
L'inévitable motocyclette du 14 avril
Jorge Pedro Alvarez est un brillant électronicien amateur et automotodidacte. Dans son garage, il a conçu et mis au point un système de pilotage informatisé qui permet d'assurer les différentes fonctions nécessaires à la conduite de sa motocyclette grâce à l'interaction avec un ordinateur de bord et un clavier, le tout relié par wifi à une centrale domestique. Il projette de présenter son prototype à la presse spécialisée sous peu.
Vidange
Même chose que le billet précédent, même époque. Selon mes souvenirs, en voyant quelques autres diapositives de la même pochette, cette photographie a été prise avec le Canon EOS 5. Pas le 5D numérique, non, bien avec l'EOS 5, l'appareil qui avait pour particularité principale d'avoir un système autofocus piloté à l'œil. Selon l'endroit où l'on regardait dans le viseur, on sélectionnait l'un des cinq capteurs autofocus. C'était moderne.
Amusons-nous avec de vieilles photographies
Ça arrive parfois. Pas tous les jours, mais ça peut arriver et j'en suis le témoin vivant. Vous remettez la main sur une pochette de vieilles diapositives que vous aviez oubliées et l'envie vous prend d'en numériser quelques unes et de les traiter pour en tirer quelque chose à vos yeux intéressant. Ces diapositives en question, si je ne peux pas dire quand elles ont été prises, je peux néanmoins voir qu'elles ont été développées en mai 2007.
Si encore osions-nous…
Quand c'est non, c'est non
Ce jeudi, une manifestation était organisée à Périgueux pour dire et redire le refus de la réforme des retraites de Macron et du gouvernement Borne. Partie du palais de justice, la manifestation est passée par les allées Tourny, devant la préfecture, la rue saint-Front, la rue Taillefer, la place Francheville, la place Bugeaud et le cours Montaigne. Il faisait beau et l'ambiance était au beau fixe. La CGT, entre autres, participait à cette bonne ambiance avec une formation musicale de haut vol.
Macron, un président à l'écoute des français
On ne va pas chinoiser
Hier, en marge de[1] la manifestation contre la réforme des retraites, à Périgueux, tandis que le cortège s'étiolait une fois de retour au point de départ, je me dirigeais vers l'une des extrémités de la place Tourny lorsqu'un véhicule peu habituel attirait mon regard et l'objectif de l'appareil photo.
Note
[1] expression très appréciée des journalistes de toute sorte
Laissez faire les professionnels
Les raisons d'un fiasco annoncé
C'est le signe distinctif des grands esprits, j'ai parfois des idées parfaitement idiotes que je m'acharne à mettre en pratique pour mon plus grand malheur. Ainsi, récemment, j'ai pris un flacon d'encre de chine réputée inapte au service pour m'essayer à l'encrage d'un dessin à la plume. Comme attendu, ça s'est mal passé. L'encre en question a la désagréable aptitude à sécher trop vite et à embourber la plume ou le pinceau. Autant le dire, je ne l'utilise pas.
J'en arrive à me demander si je n'ai pas une certaine propension à me délecter des actes voués à l'échec par essence. J'agis comme si j'allais me délecter de l'échec, comme si je le cherchais, comme si je me cherchais une raison au ratage. Et pourtant, je le sais bien, je n'ai pas besoin de cette débauche de moyens détournés pour foirer un dessin.
La meilleure des automobiles du monde ?
Que du bonheur !
Est-ce que vous vous rendez compte qu'il y a encore peu, je ne savais même pas que l'on pouvait faire ce genre de chose avec Blender ? En gros et pour faire simple, on définit une grille de points sur un plan, le nombre de points en abscisse et en ordonnée, et on demande au logiciel de placer un objet dupliqué sur chacun de ces points. Vous le saviez, vous ?
Alors, je suis d'accord, il n'y a pas de quoi se relever la nuit pour boire une infusion de camomille, mais, tout de même, et malgré le fait que je me demande encore à quoi cela peut servir concrètement, je trouve cela bien chouette.
C'est le jour