Je n'y suis pour rien

ChatGPT Titre : “Sombres Échos”

L’inspecteur Adrian Laroche traînait sa silhouette sombre à travers les couloirs grisonnants du commissariat, ses épaules voûtées par le poids des mystères non résolus. Sa réputation de brillant enquêteur avait depuis longtemps cédé la place à une aura de mélancolie persistante.

Un matin pluvieux, le téléphone sonna, brisant le silence morose de son bureau. Un crime brutal venait d’être commis dans le quartier jadis paisible de Sainte-Claire. Un cadavre sans vie gisait dans une ruelle sombre, et un message énigmatique était laissé à côté du corps.

Laroche se leva, traînant ses pieds fatigués vers la scène du crime. Ses yeux ternes scrutaient les moindres détails, cherchant des réponses dans les coins les plus sombres de la scène. Les indices le menèrent sur la piste d’un tueur en série qui semblait se délecter du jeu macabre qu’il avait entamé.

Au fur et à mesure que l’enquête progressait, Laroche plongeait plus profondément dans les ténèbres de l’âme humaine. Les sombres échos du passé surgissaient, révélant des secrets enterrés et des liens inattendus entre les victimes. Chaque révélation creusait un peu plus le fossé de la dépression de Laroche, le rapprochant dangereusement du précipice de la folie.

Entre les flashbacks déchirants de ses propres démons intérieurs et les messages cryptiques laissés par le tueur, Laroche lutte contre le désespoir qui menace de l’engloutir. Alors que le compte à rebours s’accélère et que le tueur resserre son emprise, l’inspecteur dépressif doit trouver la force de dévoiler la vérité avant que l’obscurité ne le consume entièrement.

“Sombres Échos” est un thriller policier captivant qui explore les recoins les plus sombres de l’âme humaine, tout en mettant en lumière la fragilité d’un homme confronté à la cruauté du monde qui l’entoure.

Allons à la Campagne

Campagne

Ce 21 décembre est sortie la nouvelle version de darktable, logiciel (libre) de correction et d’exportation de données brutes de capteurs en images regardables par un être humain. En clair, c’est un logiciel qui permet de traiter les données issues d’un appareil photo numérique. En encore plus clair, ça permet d’appliquer des réglages et corrections tels que l’exposition, le contraste, la balance des blancs, la netteté et beaucoup (vraiment beaucoup) d’autres choses dont certaines me sont encore bien obscures.
Si vous photographiez en RAW, vous devez passer par ce genre de logiciel pour obtenir une image. Si vous préférez photographier en jpeg, votre appareil se chargera de créer une image pour vous mais la latitude de réglage sera moindre. Les deux méthodes ont leurs avantages et inconvénients. Si vous êtes photographe de presse et que vus devez fournir rapidement vos images, le jpeg direct peut représenter un bon choix. Si vous photographiez des sujets qui n’ont aucun caractère d’urgence, si vous voulez “bidouiller” vos photos en profondeur, autant partir sur un fichier qui aura le maximum de données qui accepteront le maximum de réglages.
J’utilise darktable depuis quelques années, c’est un logiciel qui peut paraître assez difficile à prendre en main tellement il y a de possibilités. Après un apprentissage rapide, on parvient à obtenir des résultats intéressants.

Ça tourne



Encore avec le logiciel Blender que j’essaie d’utiliser, je me suis essayé aux fonctions de contraintes. Deux roues dentées de la même taille, l’une entraînant l’autre forcément en sens inverse. Pour corser un peu, j’ajoute une troisième roue dentée d’un diamètre réduit de moitié et d’un nombre de dents également divisé par deux. Celle-ci tourne nécessairement deux fois plus vite que celle qui l’engrène.
J’exporte cette animation en .png et importe les images dans gimp afin de réaliser un gif animé.
Ces deux logiciels sont libres (et gratuits) et fonctionnent sur Linux, Windows et, heureusement pour moi, sur MacOS.

Des bulles mais pas de BD


Ce matin, je me réveille vers 3h30 et c’est trop tôt. Peut-être pas pour tout le monde mais pour moi, oui. Je suis réveillé, je bois du café et je démarre l’ordinateur. Je bosse sur deux ou trois trucs en attente, un problème d’envoi de mail depuis une boutique en ligne, un petit livret de dessins à colorier pour les enfants et quelques messages en attente de réponse.
J’envoie un document par mail. Il est déjà presque 8h30. La réponse ne tarde pas à arriver et, en guise de réponse, ça s’applique à la perfection de ne répondre à rien. Je renvoie un mail pour demander une réponse. Je reçois un mail dans lequel on me demande quelle était la question. J’ai un doute. Je vérifie le premier mail envoyé. Je suis rassuré. Il y a bien la question, simple et précise. Je suis rassuré mais je sens l’agacement commencer à me gagner. Je réponds en remettant la question. Nouvelle réponse idiote. Là, j’arrête. Je n’ai pas envie de jouer avec quelqu’un qui ne comprend pas. Et puis, je me souviens que j’ai de la vaisselle à faire.

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